Par une très froide matinée de décembre, dans une salle dépouillée du théâtre de verre, nous avons voyagé par delà les chaines montagneuses du nord de l’inde, jusqu’au Sikkim et au Tibet, nous réchauffant au milieu des sommets glacés grâce à la technique bouddhiste du Toumo. Notre guide, Blanche Heugel, nous avait tous embarqués, adultes et enfants, dans un de ses voyages imaginaires dont on ressort transporté à plus d’un titre, sur les traces de la plus grande et la plus fantasque exploratrice que le début du XXème siècle ait connu, Alexandra David-Néel.
Stacey Cotter Maniere, fondatrice de (Re) vision society, écrit des poèmes et les illustre de dessins orignaux.
Des vers inspirés par des rencontres, l'observation du monde qui l'entoure, sur lequel elle pose un regard bienveillant.
Une autre façon pour elle d'exprimer sa créativité et de raconter une histoire.
Stacey nous livre l’histoire derrière deux de ses poèmes et ses pensées sur ce qu’écrire de la poésie et dessiner représente pour elle.
Extraits de ses cahiers.
Quand nous avons pris rendez-vous avec les Happy Souls Garden, Charlie nous à immédiatement invitées à partager ensemble le déjeuner. Une première depuis que nous avons commencé ces portraits artisans. On allait cuisiner pour nous. Nous nous sommes évidemment empressées d'accepter, notre gourmandise n'ayant d'égal que notre curiosité.
Couchés à l'encre et au crayon de couleur dans des cahiers, invariablement de la marque Moleskine, les croquis d'Antoine Boudin racontent l'histoire de sa recherche